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Ilest tout à fait possible d’envisager l’installation d’un poêle à granulés au sein d’une maison non équipée d’une cheminée. Il faut pour cela créer un conduit d’évacuation raccordé à l’extérieur. Le raccordement se fait traditionnellement via la toiture et doit s’élever à au moins 40 centimètres au-dessus du Poursavoir quelle quantité de bois prévoir pour son poêle, il faut prendre en compte les conditions météorologiques, la durée de l’hiver, la surface à chauffer, l’isolement du logement. Toutefois, en moyenne, il faut prévoir environ 1m³ de bûches traditionnelles (un stère) par mois de chauffage, et 8 à 12 m³ par an si le poêle à bois est le chauffage principal . Unespace salon cocooning près du poêle à bois avec la tv ( je pensais encastrer le poêle et installer la tv au dessus). Nous avons une vie plutôt simple en accord avec des principes écologique. Nous aimons passer du temps avec notre famille et nos amis. Cette maison représente pour nous un endroit de convivialité, de partage et d'apprentissage pour nos Lemontant forfaitaire de l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’un foyer fermé ou d’un insert à bois sera de : 2 000 € si vous faites partie du groupe « bleu » ; 1 200 € si vous faites partie du groupe « jaune » ; 600 € si vous faites partie du groupe « violet » ; 0 € si vous faites partie du groupe « rose ». Devispoêle à bois : combien coûte l'installation ? Le prix pour l’installation d’un poêle à bois varie selon l'étendue des travaux qu’il faut réaliser. De plus, cela va aussi dépendre en grande partie du système de chauffage que vous avez choisi.. De fait, si vous avez choisi un poêle à bois d'angle, l'installation coûtera plus cher que l’installation d’un poêle classique. Site De Rencontre Pour Senior France. Le poêle à bois a tout pour lui écologique et économique, ce mode de chauffage séduit de nombreux ménages. Son prix fluctue entre 3500€, pour les poêles à bûches basiques, et plus de 5000€ pour certains poêles de masse. Des aides financières existent pour son installation. Voici ce qu'il faut savoir sur le prix du poêle à bois. Envie d'installer un poêle à bois ? Testez notre simulateur gratuit ! Le poêle à bois est un équipement de chauffage qui ne nécessite aucun circuit d'eau. Il peut s'installer à peu près n'importe où tant que vous possédez un conduit d'évacuation de fumée. Il diffuse de la chaleur dans votre maison grâce à la combustion de bûches ou de granulés de bois, également appelés pellets. Le poêle chauffe par convection et rayonnement. Carte d'identité du poêle🌡️ Rendement plus de 70%🌳 Combustible bois🔥 Type de chauffage décentralisé💸 Prix entre 3500 et 5000€ En fonction de vos besoins en chauffage et de la répartition des pièces à chauffer, vous avez le choix entre Un poêle à bûches classique généralement utilisé comme chauffage d'appoint, il est performant et apprécié pour son côté chaleureux. Un poêle à granulés grâce à son alimentation automatique en combustible, il gagne en autonomie. Il est aussi généralement plus économique ! Un poêle à bois encastrable il s’insère dans le mur. Il permet de profiter du spectacle d’un bon feu de bois sans prendre de place dans la maison. Un poêle étanche la mise en œuvre des normes BBC et RT 2012 a vu l’apparition d’une nouvelle catégorie de poêles les poêles raccordables étanches. Un poêle de masse ces poêles sont parmi les plus efficaces en raison de leur forte inertie thermique. Ces poêles particulièrement lourds peuvent restituer de la chaleur sur une durée de 24 heures. Ils sont généralement fabriqués en briques réfractaires, faïence ou roches volcaniques. Ils doivent occuper une position centrale dans l’habitation pour être pleinement efficaces. Un poêle à bois mixte qui permet d’utiliser indifféremment des bûches ou des granulés. Un poêle à bois double combustion ou post combustion il permet d’obtenir un meilleur rendement, en brulant une seconde fois les gaz issus de la première combustion. Ce qui augmente considérablement la puissance de chauffe et limite les rejets polluants dans l’atmosphère. Un poêle turbo il chauffe la pièce plus rapidement. A privilégier lorsque le poêle sert de chauffage d’appoint. Le prix d’un poêle à bois peut varier en fonction de plusieurs critères Le type de poêle à bûches classique, de masse, étanche... La puissance en kW plus il est puissant, plus son prix grimpe Le rendement énergétique L’esthétique Il faut aussi prendre en compte le prix d'achat et le prix d'usage. Par exemple, les poêles à double combustion sont plus chers à l’achat mais plus économiques à l’usage car ils consomment moins de combustible. Les nouvelles technologies ont également un coût boîtier de réglage air contrôle ou système vitre propre par exemple. Un poêle à bûches "classique" coûte en moyenne entre 3 500 € et 5 000 € Un poêle à granulés est compris dans une tranche de prix similaire, entre 3 000 € et 6 000 € selon les modèles Pour un poêle suspendu, comptez entre 2 500 € et 7 000 € environ Un poêle à bois scandinave vous reviendra en moyenne entre 1 000 € et 6 000 € Les prix moyens de pose se situent entre 500 € et 1 000 € en fonction du type de poêle et de la complexité de la prestation. L’installation d’un poêle à bois nécessite un conduit de fumée. Si votre habitation en est dépourvue, il faudra prévoir des travaux et des frais supplémentaires. C'est un service qui se facture entre 1 500 et 3 000 €.Le prix final de votre poêle à bois dépend en réalité des aides financières que vous obtenez. Selon votre situation et le type d'équipement que vous installez, plusieurs subventions sont possibles La prime CEE chez nous, c'est la Prime Effy. Elle peut s'élever à 1 000 €. MaPrimeRénov' distribuée par l'Anah au propriétaires, elle peut atteindre la somme de 3 000 € pour un poêle à granulés et à 2 500 € pour un poêle à bûches. La TVA à 5,5 % L'éco-prêt à taux zéro pour la réalisation d'un travaux, vous pouvez emprunter 15 000 €. 👉 À savoir Pour bénéficier des aides financières liées à la rénovation énergétique, il faut que le poêle à bois ait un rendement d’au moins 70 %. Le label Flamme Verte 5 étoiles minimum pourra vous guider dans votre choix. Pour que votre installation de poêle à bois soit éligible aux aides financières et totalement conforme aux règles de sécurité, la pose par un professionnel certifié RGE s’impose. Il faut notamment veiller à ce que le sol soit incombustible et que le conduit de cheminée soit compatible. FAQ Poêle vos questions La poêle à bois, qu’il soit à granulés ou à buches, fait l’unanimité chez les particuliers recherchant un système de chauffage économique, écologique et design. Pour son installation, que vous l’ayez confié à un professionnel agréé ou que vous décidiez de mettre à profit vos talents de bricoleur, il y a un processus à respecter. Quelles sont les étapes à suivre pour réussir la mise en place de son poêle à bois ? Cet article vous fournit une approche de réponse. Déterminer l’emplacement de l’appareil La mise en place d’un poêle à bois commence par la définition d’un emplacement susceptible d’optimiser la diffusion de sa chaleur afin de faire profiter le spectacle du feu. De ce fait, l’emplacement est très essentiel et stratégique. C’est pourquoi il est souvent recommandé de privilégier une pièce située en position centrale dans la maison pour garantir une diffusion optimale. De plus, il est conseillé de positionner l’appareil soit au milieu de la pièce, soit contre le mur, mais de veiller à ce qu’il soit placé dans le sens de circulation de l’air. Si vous avez un sol en bois, tenez surtout au fait qu’il y ait un espace entre le sol, le mur et le poêle à bois. Augmenter le flux d’air dans la pièce Pour bien fonctionner, un poêle demande un apport régulier d’oxygène afin d’accélérer les réactions de combustion. De même, une aération de la pièce chauffée empêchera le refoulement de la fumée. Et pour y arriver, trois solutions existent, lesquelles nous vous proposons ici L’augmentation du diamètre des entrées existantes dans la pièce ; La création d’une ouverture d’arrivée d’air près du poêle ; La création d’une ouverture externe d’air reliée au poêle à bois par un tubage granulé Mise en place des conduits de cheminée Les conduits de cheminées permettront essentiellement d’évacuer vers l’extérieur, les fumées, les résidus de combustible et autres particules que va provoquer le fonctionnement du poêle à bois. Si le conduit existait, vous devez penser à une adaptation avec un tubage et une isolation spécifique en fonction du modèle de poêle. Mais si c’est le contraire, il faut procéder à une création de conduits. L’installation des conduits démarre par la pose du conduit de raccordement. Il s’agit d’une intubation qui part du poêle jusqu’au plafond ou au mur de la maison. Il s’en suit la pose du conduit de fumée qui est aussi un tubage de relai du conduit de raccordement. Il part du plafond jusqu’à la sortie du toit, mais parfois du mur si l’évacuation de fumée est de façade. La pose de la sortie de toiture vient en dernier lieu. Il s’agit d’une cheminée, généralement de hauteur variable, comprise souvent entre 40 et 120 cm au-dessus du faîtage. En effet, pour plus de sécurité dans l’installation des conduits, vous devez procéder à une fixation d’un collier mural à la poutre. Cela assurera le maintien de la partie basse du conduit. En outre, étant donné que le conduit est en inox et qu’il faut techniquement procéder à trois différentes installations conduit de raccordement, conduit de fumée et la traversée de toit, des découpes sont souvent nécessaires. Pour réussir efficacement l’installation sans fausser le plan, il est recommandé de solliciter les compétences d’une entreprise spécialisée, capable de réaliser une découpe inox sur mesure. Cela soignera davantage l’aspect esthétique du conduit et permettra un agencement parfait. Mener des travaux de finition et de sécurisation des conduits Après l’installation et le raccordement des divers conduits, une phase de finition est encore importante pour assurer le maintien de l’ensemble du système de chauffage. Par exemple, le trou créé dans le plafond doit respecter un écart avec la poutre en bois. La norme NF DTU établit les conditions d’installation des conduits pour une sécurité optimale hauteur au-dessus du faîtage, distanciation avec les éléments combustibles, etc.. En effet, la paroi externe des conduits doit être distante au moins de 8 cm de tout matériau combustible. Pour maintenir davantage le conduit extérieur, on se sert également d’un collier recouvert de solin en inox. Un joint en silicone est aussi nécessaire pour donner plus d’étanchéité à la base afin d’empêcher toute filtration d’eau. Installation du poêle et raccordement au conduit de cheminée Pour protéger le revêtement du sol, une plaque de sol idéalement en verre, et résistant à la chaleur doit être nécessairement posée pour servir de support à l’appareil. Mais si votre sol est carrelé, cette plaque n’est pas nécessaire. Une fois ce petit détail réglé, vous pouvez positionner le poêle à bois et le connecter au conduit de raccordement. Durant cette phase, il faut faire attention aux distances de sécurité selon le modèle de poêle, le type de conduit doublé ou isolé ainsi que son diamètre. Il est recommandé que la distance entre le poêle à bois et le mur soit comprise entre 30 et 50 cm pour épargner au maximum les risques d’inflammation. En fonction du conduit de cheminée plafond ou mur, la connexion à l’appareil se fait soit à l’arrière du poêle à bois, soit au-dessus. Comme vous pouvez le constater, l’installation d’un poêle à bois exige la mise en application des connaissances techniques très spécifiques. La perforation du plafond, de la toiture ou du mur, l’installation des divers conduits et leur agencement, la découpe du matériel inox… tout cela n’est pas du ressort d’un bricoleur. Ne vaudrait-il pas la peine que vous confiiez la tâche à un professionnel du domaine ? Ce dernier comptera en tout une journée de travail s’il doit créer des conduits, mais s’ingéniera à parfaire la mise en place de votre appareil de chauffage. Par ailleurs, il convient de noter que les travaux d’installation d’un poêle en bois diffèrent complètement des travaux de remplacement. S’il s’agit par exemple du remplacement d’un poêle par un autre, les travaux sont moindres avec un niveau d’exécution plus rapide. Cependant, s’il s’agit d’équiper une cheminée traditionnelle d’un insert ou de la destruction d’une vieille cheminée, les travaux impliquent une phase de démolition et de remise à niveau de l’environnement. Ils s’avèrent donc plus corsés et plus dispendieux. Peu importe, qu’il s’agisse d’une installation ou d’un remplacement de poêle à bois, sollicitez les compétences d’un professionnel. Publié le 19, Nov 2018 dans Chauffage et climatisation Mis à jour le 02/04/2019 Comment calculer la puissance d’un poêle à bois ? Quel est le calcul de puissance d’un poêle à bois ? Comment choisir la puissance de son poêle à bois selon la surface au m2 ? Enfin, quel dimensionnement, rendement choisir pour son poêle à bois ? Pour bénéficier de tout le confort offert par un poêle à bois, vous devez choisir la puissance adaptée. Si la puissance du poêle à bois est trop faible, vous risquez de mourir de froid. Si elle est trop haute, vous risquez d’exploser votre porte feuille. Vous voulez installer un poêle à bois chez vous ? Dans ce guide, nous vous montrons comment déterminer la puissance en kilowatt adaptée à votre foyer. Choisir la puissance d’un poêle à boisImportance du bon dimensionnement du poêle à boisFacteur à prendre en compte pour le calcul de puissanceChoisir la puissance du poêle à bois selon la surfaceComment calculer la puissance idéale de votre poêle ?Formule pour calculer la puissance en kW du poêle à boisLien entre le KW du poêle à bois et surface à chauffer au m2Méthode de calcul de puissance du poêle a boisExemple de calcul de puissance pour le choix d’un poêle à bois pour 50 m2 Choisir la puissance d’un poêle à bois Le rendement et la performance de votre poêle à bois dépendent essentiellement de sa puissance en kilowatt. Plus celle-ci est élevée, plus la quantité de chaleur que l’appareil peut émettre est importante. Importance du bon dimensionnement du poêle à bois La première chose à faire lorsqu’on achète un poêle à bois, c’est de savoir dimensionner la puissance adaptée. Un bon dimensionnement du poêle à bois garantit un confort optimal et permet, dans la foulée, de réaliser des économies sur la facture énergétique. Lorsque la puissance d’un poêle à bois est surdimensionnée, le poêle va fonctionner en sous-régime. La combustion sera de mauvaise qualité, ce qui aura pour résultat d’encrasser plus rapidement le conduit de fumées. Lorsque la puissance d’un poêle à bois est sous-dimensionnée, le poêle va fonctionner en surrégime. Non seulement, l’appareil va consommer beaucoup plus d’énergies, mais en plus, il va se détériorer plus rapidement. N’hésitez pas à soumettre une demande de devis pour le choix et l’installation d’un poêle à bois qui correspond à votre besoin. Nos chauffagistes prendront contact avec vous afin de vous guider dans votre choix de puissance du poêle à bois. Facteur à prendre en compte pour le calcul de puissance La puissance en kw du poêle à bois est définie à partir de la configuration du logement. L’isolation du logement En règle générale, si votre logement est bien isolé, les déperditions thermiques sont limitées. Il ne sera donc pas nécessaire de se procurer un appareil aux puissances exceptionnelles pour le chauffer. La surface des pièces à chauffer Il est important de choisir un poêle à bois dont la puissance est compatible avec la taille des pièces à chauffer. Si elles sont petites et que l’appareil est trop puissant, elles risquent de se transformer en sauna. Si en revanche, elles sont grandes et que l’appareil n’est pas assez puissant, le besoin en chauffage ne sera pas comblé. La localisation Il est primordial pour un confort optimal de choisir un appareil adapté aux climats locaux. Si vous habitez dans une zone géographique où la température crève le plafond, les besoins en chauffage ne sont donc pas considérables. Un appareil à la puissance moyenne peut suffire. En revanche, si vous résidez dans une région où la température est pratiquement basse, il faut penser à un appareil puissant. Les autres critères Dans la mesure où la puissance du poêle à bois doit répondre à vos besoins en matière de chauffage, au moment de choisir, pensez également à noter La hauteur sous plafond en mètres La température ambiante désirée Le chauffage principal que vous utilisez Le nombre de personnes qui vivent sous votre toit La régularité avec laquelle vous allez utiliser le poêle Choisir la puissance du poêle à bois selon la surface La surface à chauffer en m2 a une incidence directe sur la puissance du poêle à bois. Plus la pièce est grande, plus l’appareil devra être puissant. La question qui revient souvent est comment choisir son poêle à bois pour les petites surfaces ? Quel poêle à bois acheter pour un logement de 90 m2 Voici un tableau récapitulatif de la puissance en kW du poêle à bois nécessaire en fonction de la surface en m2 Puissance en kW Surface en m2 en fonction de l’isolation 4 kW 25 m2 à 60 m2 5 kW 30 m2 à 75 m2 6 kW 35 m2 à 90 m2 7 kW 40 m2 à 105 m2 8 kW 45 m2 à 120 m2 9 kW 50 m2 à 135 m2 10 kW 55 m2 à 150 m2 11 kW 60 m2 à 165 m2 12 kW 65 m2 à 175 m2 13 kW 70 m2 à 190 m2 14 kW 75 m2 à 200 m2 Ainsi, la puissance d’un poêle à bois pour 120 m2 devrait être comprise entre 10 et 14 kW, le reste dépendra de votre isolation thermique. Comment calculer la puissance idéale de votre poêle ? Il y a deux manières de calculer la puissance de votre poêle à bois soit vous utilisez la formule usuelle, soit vous déterminez la puissance à partir de la surface de la pièce. Formule pour calculer la puissance en kW du poêle à bois Pour le calcul de la puissance en kW du poêle à bois dont vous avez besoin, vous n’avez donc qu’à appliquer la formule suivante Coefficient thermique * Volume à chauffer en m2 * Température de confort – Température du lieu d’habitation Lien entre le KW du poêle à bois et surface à chauffer au m2 Pour un chauffage optimal dans votre logement, la puissance du poêle doit permettre à la pièce de bénéficier de ou de Et cela, à condition que la hauteur sous plafond ne dépasse pas les 2,5 mètres. La puissance peut également dépendre du type de maison Pour une maison traditionnelle, comptez 1kW/10m² Pour une maison RT2012, comptez 1kW/20m² Méthode de calcul de puissance du poêle a bois Pour pouvoir calculer la puissance du poêle à bois, vous devez donc déterminer les informations suivantes Le coefficient thermique Le coefficient thermique est défini en fonction de l’année de construction de la maison à chauffer. Dans ce tableau, découvrez le coefficient correspondant à l’année de construction de votre maison. Maison Coefficient thermique RT2012 BBC RT2005 Entre 2000 et 2005 Entre 1990 et 2000 Entre 1983 et 1990 Entre 1974 et 1982 Avant 1975 Le volume à chauffer en m3 Le volume à chauffer est la donnée la plus importante à connaître pour bien dimensionner votre poêle à bois. Vous pouvez le déterminer en multipliant la surface totale de la pièce avec sa hauteur sous plafond. La température de référence du lieu d’habitation Elle représente la température extérieure la plus basse relevée dans chaque département en une année. Vous pourrez déterminer celle de votre région en consultant une carte spéciale en ligne. La température de confort souhaitée Elle correspond à la température ambiante que vous voulez dans les pièces à chauffer. Attention, elle n’est pas forcément la même pour tout le monde. Exemple de calcul de puissance pour le choix d’un poêle à bois pour 50 m2 Supposons que vous souhaitez chauffer une pièce de 50m² ayant m de hauteur sous plafond, dans une maison aux normes RT2012. Pour calculer la puissance du poêle à bois adapté, vous devez utiliser Le coefficient thermique Le volume de la pièce 50* = 125m3 La température de base -7 La température de confort 21°C Puissance de poêle à bois nécessaire = x 125 x 21 – -7 = 1750 Watts. La réglementation en vigueur concernant l’installation d’un poêle à bois de masse, mixte bois/granulés, à gaz ou à granulés seuls, oblige à respecter certaines règles afin de sécuriser son fonctionnement. En cas de manquement, de conduit vétuste ou d’installation non normalisée, différents problèmes peuvent surgir. Le premier est d’ordre sécuritaire. Le second relève de l’efficacité énergétique amoindrie du poêle. Mais plus globalement, les textes de loi régissant les poêles visent à imposer les précautions nécessaires pour empêcher les départs de feu. A cet effet, ils obligent à des travaux d’entretien et une pose dans les règles de l’art. Ainsi, il est bon de savoir que le ramonage du conduit au moins deux fois par an est une obligation pour tout propriétaire de poêle. Chaque modèle ayant ses spécificités. Ce qu’il faut savoir sur la réglementation régissant le poêle Souvent, nous ne nous rendons vraiment compte du problème qu’une fois pris sur le fait. C’est pourquoi la mise en application de la réglementation sur le poêle doit se faire dès son installation. Avec le ramonage annuel du conduit pour le poêle à bûche et un entretien occasionnel pour un poêle à granulé, cette démarche est le seul moyen de vous prémunir d’éventuels incendies. Les conditions techniques relatives à l’installation d’un poêle et à ses conduits de fumées sont inscrites dans le Document Technique Unifié ou DTU Ce même DTU régit l’ensemble des conduits de cheminées des calorifères, chaudières et poêles, leur servant à vidanger les produits issus de la combustion. Cette réglementation sur le poêle est applicable en cas de construction neuve de conduits. Elle concerne à la fois les bâtiments nouvellement construits ou anciens. Mais également en cas de réhabilitation des conduits existants, qu’ils soient groupés ou individuels. Mise à part cette norme principale, il y a des équipements de chauffage qui peuvent aussi bénéficier d’un Avis Technique, que l’on appelle également ATec ou AT. Il certifie de leur performance et atteste de leur réglementarité. Réglementation sur l’installation d’un poêle que préconise la DTU ? La sécurisation et le bon fonctionnement d’un poêle passent par deux éléments incontournables. Le premier n’est autre que le conduit de fumées, dont le rôle est de rejeter les produits de combustion hors de l’habitation. Le conduit de fumées se situe dans la pièce abritant le poêle et sort par le toit. Son bon fonctionnement implique une forme et des sections constantes. Le second pilier du poêle est le conduit de raccordement. Ce dernier relie la buse du poêle au conduit de fumées. Quelques impératifs sont à respecter concernant les conduits de fumées en métal, sur notamment le tracé du conduit, la traversée du plancher, ainsi que la sortie du toit. Quelques impératifs sur le conduit de fumées Au cas où un prolongement serait indispensable, il faut veiller à ce que les composants utilisés s’accordent au conduit principal. Il est essentiel de prévoir une distance de sécurité entre le conduit de fumée et les différents matériaux combustibles. En règle générale, la distance de 8 cm est le minimum requis. Néanmoins, la réglementation sur le poêle stipule que cette distance sera de 3 fois le diamètre du conduit. Concrètement, il faut un minimum de 45 cm si le conduit fait 150 mm de diamètre. Avec un matériau non combustible et une protection contre le rayonnement, la distance nécessaire sera 1,5 fois du diamètre du conduit. Dans ce cas, c’est 22,5 cm pour un même conduit de 150 mm de diamètre. Ce que dit la réglementation sur le poêle à propos du conduit de raccordement La réglementation régissant le poêle implique l’utilisation d’un raccord poêle/tubage, intégrant une plaque de propreté, utile pour la fermeture du bas de conduit, pour les conduits maçonnés. En cas de conduits métalliques, il faut recourir à un raccord simple paroi/double paroi et respecter les 40 mm pour l’emboitement de l’élément spécifique au conduit de raccordement. Un dévoiement est possible sur une pente n’excédant pas les 45°, sur un conduit individuel de 3 m au plus. A noter qu’un dévoiement effectué sur le conduit de fumée n’empêche aucunement la réalisation d’un dévoiement sur conduit de raccordement. L’installation d’un poêle suivant la réglementation Qu’il s’agisse d’un poêle à bois, granulés ou à gaz, l’article DTU impose une sortie du toit à plus de 40 cm de la hauteur du faîtage. Ce sera un débouché de 1,20 m minimum par rapport au point de sortie pour le cas d’une toiture terrasse. Toute opération de tubage est obligatoirement à précéder d’un ramonage. La réglementation sur le poêle interdit le tubage partiel du conduit. Par ailleurs, elle oblige à effectuer un test d’étanchéité aussitôt l’installation faite, à poursuivre tous les 3 ans. Pour terminer, une plaque signalétique décrivant l’ouvrage sous les critères du DTU est à apposer sur ou près du conduit. Elle informe sur la résistance du conduit aux condensats, à la pression, à la corrosion, aux feux de cheminée, ainsi que la température maximale qu’il est en mesure de supporter. Vous avez décidé d’investir dans un poêle ? Voici toutes les étapes nécessaires pour une installation réussie, nos conseils pour faire le bon choix et le budget à prévoir. 1. Poêle performant + installation réussie = jusqu’à 60% des besoins en chauffage L’installation d’un poêle est un projet qui nécessite des travaux importants et certaines connaissances techniques car installer un poêle doit prendre en compte plusieurs critères déterminants pour son bon fonctionnement et un rendement efficace. Dans le cas d’une installation réussie, le poêle à bois permet de faire des économies énergétiques car il est un chauffage d’appoint très efficace. On estime qu’un poêle peut couvrir jusqu’à 60% de vos besoins en chauffage. Mais attention, cette estimation est basée sur une configuration idéale poêle performant, bonne isolation du logement, diffusion optimale de la chaleur, combustible de qualité, installation aux normes, etc. 2. La création ou l’utilisation d’un conduit d’évacuation L’installation d’un poêle sous-entend obligatoirement la présence d’un conduit d’évacuation des fumées, comme pour tous les types de chauffage bois. Qu’il soit existant ou à créer, le conduit de cheminée est détermine l’emplacement de votre équipement. Lire aussi Quel type de conduit de fumée ou système d’évacuation ? Dans tous les cas de figure, votre conduit doit répondre à la norme NF DTU Quel que soit le type de travaux envisagés pour le conduit création, raccordement, rénovation, il doit être réalisé par un professionnel. La mise en œuvre sera conforme à la réglementation en cours et votre installation sera sécurisée pour les occupants mais aussi votre habitation. Mais surtout, votre système d’évacuation des fumées sera couvert par votre assurance et votre matériel sous garantie. Faire appel à un professionnel a de nombreux avantages, c’est aussi une garantie d’un chantier dont la durée est maîtrisée sans avoir à gérer certains inconvénients. Comme par exemple, la préparation et le nettoyage du chantier et l’évacuation des gravats. 3. L’emplacement un paramètre stratégique d’une installation réussie L’emplacement doit répondre à certaines règles qui optimisent le rendement d’un poêle. Par exemple, le sens de circulation de l’air doit être pris en compte car il contribue à la bonne diffusion de l’air chaud. Il faut donc idéalement placer le poêle en début de cycle. Comme vous pouvez le constater, trouver la bonne place n’est pas un acte anodin. Sans l’aide et les conseils de professionnels spécialisés en installation de poêle, il arrive parfois que les résultats attendus chauffage, facture énergique soient décevants. Le centre d’une pièce est l’emplacement idéal pour ce type de chauffage, car la chaleur rayonne dans toute la pièce, si celle-ci n’est pas gênée par un obstacle un fauteuil ou canapé, un meuble imposant, etc. Pour une problématique d’espace disponible et souvent à cause de l’emplacement du conduit, le poêle est placé contre un mur dans la plupart des habitations. Ce qui n’est pas vraiment un inconvénient car la chaleur se dégage par devant, le dessus et les côtés. Il faut aussi veiller à ce que l’air puisse bien circuler autour pour une bonne diffusion de la chaleur. Le conseil en + Dans les habitations avec étage, il est possible de diffuser la chaleur aux pièces situées à l’étage en plaçant le poêle proche de l’escalier ! Etant donné que la chaleur monte naturellement, les pièces à l’étage bénéficient ainsi du flux d’air chaud. 4. Une bonne évaluation de la puissance Un poêle peut se poser sur n’importe quel type de revêtement de sol existant. Même si celui-ci est sensible à la chaleur. Le poêle est en effet posé sur une plaque fabriquée avec un matériau qui résiste à la chaleur et au feu, comme le béton, la pierre, la brique ou encore le verre. Ce socle est une occasion d’apporter une petite touche esthétique à votre installation créez un effet de surprise avec du carrelage qui imite le bois ou le béton, ou faites imprimer votre photo préférée sur votre plaque en verre. L’aide et les conseils d’un professionnel sont indispensables pour choisir votre poêle et notamment sa puissance. Si celle-ci est mal évaluée, votre poêle ne sera pas performant et son usage assez contraignant. Une puissance sous-évaluée entraîne une surconsommation de combustible et donc les économies promises à la clef ne seront pas à la hauteur espérée. Ensuite un poêle sur-dimensionné occasionne beaucoup d’entretien, car en fonctionnant en sous-régime, la combustion est de mauvaise qualité. Ce qui génère beaucoup de déchets et encrasse le conduit. Pour résumer, seul un poêle dont la puissance est bien estimée rend son utilisation optimale et économique. La puissance d’un poêle se calcule aussi en fonction de la qualité de l’isolation du logement, de la superficie à chauffer, des besoins et du mode de vie des occupants, mais aussi du climat. Tous ces paramètres sont à prendre en compte et seule l’expertise d’un spécialiste en installation de poêle peut évaluer la puissance la plus adaptée. Si on estime en moyenne qu’il faut 1kW pour chauffer 10m2, sachez que cette valeur est à prendre avec précaution car elle ne prend pas en compte tous ces critères. 5. Pourquoi faire appel à un professionnel pour l’installation de son poêle Si on parle du poêle comme un chauffage écologique qui permet de faire des économies d’énergie, cette promesse n’est possible que si un certain nombre de paramètres sont pris en compte. Le choix de la puissance climat, isolation, nombre d’occupants, volume, mais aussi l’emplacement sont à décider avec la plus grande précision. L’avantage de faire appel à un spécialiste est qu’il saura vous accompagner et vous guider dans vos choix en veillant à ce que votre installation soit conforme aux normes et la plus efficace possible. 6. Quel est le prix pour une installation de poêle ? Installer un poêle est un projet de travaux qui englobe non seulement le prix du poêle, mais aussi des travaux de raccordement, un tubage éventuel du conduit pour assurer une bonne étanchéité et/ou la création d’un conduit. Prix d’un poêle bois entre 1500€ et 3000€ en moyenne pour un modèle de qualité Prix pour un raccordement au conduit Entre 250€ à 300€ Prix d’un tubage de conduit existant entre 300€ à 600€ Prix pour une création de conduit de 1500€ à 3000€ Que pensez-vous de cet article ?

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